Un mois en Thaïlande
O Luna in Thailanda
Paul Negoescu

En pleines fêtes du Nouvel an à Bucarest, Radu, jeune trentenaire, décide de rompre avec sa fiancée. La même nuit, il part à la recherche de Nadia, sa précédente petite amie, persuadé que c'était l'amour de sa vie...
Interprétation : Andrei Mateiu, Ioana Anastasia Anton, Sinziana Nicola
Scénario : Vlad Trandafir, Paul Negoescu
Image : Andrei Butica
Son : Filip Muresan, Vlad Voinescu
Montage : Alex Radu
Musique : Codrin Lazar
Scénario : Vlad Trandafir, Paul Negoescu
Image : Andrei Butica
Son : Filip Muresan, Vlad Voinescu
Montage : Alex Radu
Musique : Codrin Lazar
Production : Hi Film Productions
Distribution: Epicentre Films, Daniel Chabannes, 55 rue de la Mare, 75020 Paris // Tel. : +33 1 43 49 03 03 // Email : daniel@epicentrefilms.com
Distribution: Epicentre Films, Daniel Chabannes, 55 rue de la Mare, 75020 Paris // Tel. : +33 1 43 49 03 03 // Email : daniel@epicentrefilms.com

Né en 1984 à Bucarest, Paul Negoescu sort diplômé de la section réalisation de l'Université nationale du Film de Bucarest en 2007. Il prépare actuellement un doctorat en cinéma dans la même université. Il a réalisé plusieurs courts métrages sélectionnés dans de nombreux festivals et maintes fois primés tels que Rénovation (2009), Horizon (2012) ou Derby (2010). Un mois en Thaïlande est son premier long métrage. Paul Negoescu est également le fondateur et le directeur artistique de Timishort Film Festival, festival de courts métrages de Timisoara. Il dirige aussi une petite société de production indépendante qui produit des courts métrages de fiction et d'animation.
"J'ai 28 ans et je sens que j'appartiens à une génération perdue. Mes parents se sont mariés à 22 ans, ce qui était alors très courant. Je me demande ce qui a changé dans nos modes de vie qui nous rend si incertains de nos sentiments. La seule raison à laquelle je pense est que ma génération est l'une des premières à avoir grandi après la chute du communisme, dans un environnement consumériste. Mes parents n'avaient pas le choix. Nous, au contraire, n'avons que des options. Nous ne sommes donc jamais sûrs de faire le bon choix. Cet état d'esprit me paraît s'être diffusé jusque dans nos rapports amoureux. Toujours hésitants, nous consommons la relation comme un produit. Nous sommes de plus en plus superficiels et ne prêtons plus attention à nos sentiments. Nous prenons des décisions en suivant nos esprits fermés et non nos instincts. Un mois en Thaïlande est un film sur les bonnes et les mauvaises décisions. C'est un film sur ma génération et pour ma génération." (Paul Negoescu)
"J'ai 28 ans et je sens que j'appartiens à une génération perdue. Mes parents se sont mariés à 22 ans, ce qui était alors très courant. Je me demande ce qui a changé dans nos modes de vie qui nous rend si incertains de nos sentiments. La seule raison à laquelle je pense est que ma génération est l'une des premières à avoir grandi après la chute du communisme, dans un environnement consumériste. Mes parents n'avaient pas le choix. Nous, au contraire, n'avons que des options. Nous ne sommes donc jamais sûrs de faire le bon choix. Cet état d'esprit me paraît s'être diffusé jusque dans nos rapports amoureux. Toujours hésitants, nous consommons la relation comme un produit. Nous sommes de plus en plus superficiels et ne prêtons plus attention à nos sentiments. Nous prenons des décisions en suivant nos esprits fermés et non nos instincts. Un mois en Thaïlande est un film sur les bonnes et les mauvaises décisions. C'est un film sur ma génération et pour ma génération." (Paul Negoescu)