Passer l'hiver
Aurélia Barbet

Une station service. Deux femmes. L'hiver. Des trajets. Du quotidien. Et puis une prise de risque. L'hôtel en Normandie. Un pas de côté. L'enquête. La Lada rouge. La plage. La mort qui travaille les vivants. Un mouvement et une suspension. La fille brune. L'amour. Une histoire de liens qui se tissent.
Interprétation : Lolita Chammah, Gabrielle Lazure
Scénario : Aurélia Barbet, Christophe Cousin
Image : Laurent Desmet
Son : Martin Gracineau, Jean-François Maître, Céline Bellanger, Frédéric Bielle
Montage : Agathe Dreyfus
Scénario : Aurélia Barbet, Christophe Cousin
Image : Laurent Desmet
Son : Martin Gracineau, Jean-François Maître, Céline Bellanger, Frédéric Bielle
Montage : Agathe Dreyfus
Production : Serge Duveau, Abelina Film Production, 116 rue de Charenton, 75012 Paris // Email : abelinafilms@free.fr // Tél. : + 33 (0)9 53 53 21 40

Aurélia Barbet est née en 1972. Après des études d'histoire, elle fonde un groupe de Cinéaste Antibois. Ensemble, ils feront une dizaine de courts-métrages. À son arrivée à Marseille en 2004 correspond une filmographie plus intime. Elle réalise Hôtel Plasky en 2004, Cette femme à laquelle je pense en 2005 et coréalise Holiday avec Agathe Dreyfus en 2005. Elle fait un détour par le documentaire avec Ceux qui restent, en 2011, qui suit la reconstruction d'un homme dont la femme s'est suicidée à cause du travail. En 2012, elle tourne son premier long métrage de fiction Passer L'hiver.
"Le point de départ du film, c'est la lecture d'une nouvelle d'Olivier Adam : deux femmes travaillent dans une station-service lorsque, le soir du nouvel an, l'une d'elles part avec un homme... L'envie de prolonger cette histoire rejoignait les chemins que j'explore dans mon travail de cinéma : le passage à l'acte, le moment de bascule vécu par des personnages féminins. Passer l'hiver est né de cette envie de filmer ces moments particuliers de la vie où l'on fait un pas de côté, ces moments fragiles et imprévisibles où se révèle une part de soi-même, quelque chose de profondément humain, une prise de risque, un choix qui advient dans un état de présence aiguë au monde." (Aurélia Barbet)
"Le point de départ du film, c'est la lecture d'une nouvelle d'Olivier Adam : deux femmes travaillent dans une station-service lorsque, le soir du nouvel an, l'une d'elles part avec un homme... L'envie de prolonger cette histoire rejoignait les chemins que j'explore dans mon travail de cinéma : le passage à l'acte, le moment de bascule vécu par des personnages féminins. Passer l'hiver est né de cette envie de filmer ces moments particuliers de la vie où l'on fait un pas de côté, ces moments fragiles et imprévisibles où se révèle une part de soi-même, quelque chose de profondément humain, une prise de risque, un choix qui advient dans un état de présence aiguë au monde." (Aurélia Barbet)