38ᵉ édition
17-25 janvier 2026

On l'appelle Jeeg Robot

Lo chiamavano Jeeg Robot

Gabriele Mainetti

Image On l'appelle Jeeg Robot
Italie
2017 Fiction 1h58
Poursuivi par la police dans les rues de Rome, Enzo plonge dans les eaux du Tibre et est contaminé par une substance radioactive. Le lendemain, il découvre qu'il a des pouvoirs surhumains qu'il décide de mettre au service de ses activités criminelles. Du moins jusqu'à ce qu'il rencontre Alessia, persuadée qu'il est l'incarnation de Jeeg Robot, héros du manga japonais venu sur Terre pour sauver le monde. Mais Enzo devra affronter Fabio, dit "le Gitan", mafieux psychopathe qui travaille avec la Camorra.
Interprétation : Claudio Santamaria, Luca Marinelli, Ilenia Pastorelli, Stefano Ambrogi, Maurizio Tesei.
Scénario : Nicola Guaglianone, Menotti
Image : Michele D'Attanasio
Son : Valentino Gianni
Montage : Andrea Maguolo
Musique : Gabriele Mainetti, Michele Braga
Production : Goon Films, Rai Cinema.
Distribution: Nour Films
www.nourfilms.com
Né en Italie en 1976, Gabriele Mainetti est acteur, réalisateur, compositeur et producteur. Il fonde en 2011 sa société de production Goon Films et réalise son premier long métrage On l'appelle Jeeg Robot. Énorme succès surprise au Box Office italien, ce super-héros transalpin a déjoué tous les pronostics et s'est même permis de rafler pas moins de 7 David di Donatello (équivalent des César italiens). Gabriele Mainetti est également connu pour ses courts métrages Basette (2008) et Tiger Boy (2012). Ce dernier était notamment en lice pour une nomination aux Oscar dans la catégorie “live action short”.

"“Pourquoi un super-héros italien ? J'aime le cinéma de genre et je pense que celui des super-héros représente le défi le plus complexe et le plus dangereux. À mon avis, faire un bon film signifie raconter une histoire avec originalité. Lorsque l'on aborde un nouveau genre, il est difficile de ne pas tomber dans l'imitation. Nous ne voulions pas raconter les aventures d'un Superman en collants. Il fallait persuader les spectateurs de croire en lui dès le début. Comment ? C'est par les vérités propres à notre tradition, par la fragilité des personnages, que le public se laisse, j'espère, emporter dans une histoire urbaine remplie de superpouvoirs.” Gabriele Mainetti