Oh Boy
Jan Ole Gerster
Prix du public - Long métrage européen//Audience award - European feature films//Ville d'Angers, Fondation Groupama Gan pour le Cinéma, Le Monde
Prix Spécial du jury - Long métrage européen//Special jury prize - European feature films//
Prix Spécial du jury - Long métrage européen//Special jury prize - European feature films//
Niko approche de la trentaine et vient d'abandonner ses études. Il vit au jour le jour, insouciant quant à son statut grandissant de marginal jusqu'à ce qu'il soit un jour obligé de se confronter aux conséquences de son inaction. Sa copine le quitte, son père lui coupe les vivres, un psychiatre confirme son "déséquilibre émotionnel" et une étrange fille réapparaît dans sa vie. Mais tout ce que Niko désire, c'est une simple tasse de café...
Interprétation : Tom Schilling, Friederike Kempter, Marc Hosemann
Scénario : Jan Ole Gerster
Image : Philipp Kirsamer
Son : Magnus Pflüger
Montage : Anja Siemens
Scénario : Jan Ole Gerster
Image : Philipp Kirsamer
Son : Magnus Pflüger
Montage : Anja Siemens
Production : Schiwago Film GmbH, Gneisenaustr. 66, 10961 Berlin, Allemagne // Tel. : +49 30 6953980 // Email : info@schiwagofilm.de
Né en 1978 à Hagen en Allemagne, Jan Ole Gerster fait ses classes en travaillant sur plusieurs productions dont deux films de Tom Tykwer : La Princesse et le guerrier (2000) et Heaven (2002). Il est ensuite l'assistant personnel du réalisateur Wolfgang Becker lors du tournage de Good Bye, Lenin! (2003) puis intègre la DFFB (Académie allemande du film et de la télévision de Berlin) où il étudie la réalisation et l'écriture de scénarios. Après avoir réalisé plusieurs films publicitaires et clips vidéo, il réalise Oh Boy, son premier long métrage.
"Les premières fois sont toujours magiques. C'est la même chose avec les films. Très jeune, le désir de faire des films est apparu. Je ne réalisais pas la différence entre regarder des films et en faire. Pour moi, regarder des films était et reste aujourd'hui encore une échappatoire à la réalité, alors qu'en réaliser m'oblige à m'y confronter. Les premiers films doivent être personnels, mais jamais confidentiels. Ils devraient aussi toucher à l'intime et malgré ou à cause de cela, toucher à l'universel. Quand je travaillais au développement de mon premier film, je recevais beaucoup de bons et mauvais conseils. Je les ai tous écoutés, avant de les oublier. J'ai finalement trouvé l'équilibre entre la stupeur et la naïveté et j'ai tourné mon premier film. C'était une expérience magique." (Jan Ole Gerster)
"Les premières fois sont toujours magiques. C'est la même chose avec les films. Très jeune, le désir de faire des films est apparu. Je ne réalisais pas la différence entre regarder des films et en faire. Pour moi, regarder des films était et reste aujourd'hui encore une échappatoire à la réalité, alors qu'en réaliser m'oblige à m'y confronter. Les premiers films doivent être personnels, mais jamais confidentiels. Ils devraient aussi toucher à l'intime et malgré ou à cause de cela, toucher à l'universel. Quand je travaillais au développement de mon premier film, je recevais beaucoup de bons et mauvais conseils. Je les ai tous écoutés, avant de les oublier. J'ai finalement trouvé l'équilibre entre la stupeur et la naïveté et j'ai tourné mon premier film. C'était une expérience magique." (Jan Ole Gerster)