Les Gouffres
Antoine Barraud

Cinq gigantesques gouffres viennent d'être découverts sur des plateaux reculés à l'autre bout du monde. Une équipe de chercheurs est envoyée sur place pour descendre dans les profondeurs. Parmi eux le professeur Georges Lebrun, venu avec son épouse. Inquiète, tendue, elle est bientôt happée par la proximité du vide.
Interprétation : Nathalie Boutefeu, Mathieu Amalric, Marta Hoskins
Scénario : Antoine Barraud
Montage : Antoine Barraud
Image : Gordon Spooner
Son : Fred Piet, Gilles Bénardeau
Scénario : Antoine Barraud
Montage : Antoine Barraud
Image : Gordon Spooner
Son : Fred Piet, Gilles Bénardeau
Production : Les Films du Bélier, Justin Taurand, 54, rue Boulanger, 75010 Paris // Tel. : +33 (0)1 44 90 99 83 // Email : contact@lesfilmsdubelier.fr

Révélé en 2005 au Festival Premiers Plans avec Monstre, son premier court métrage, Antoine Barraud a réalisé plusieurs courts-métrages de fiction (dont Déluge, en 2005, et Monstre numéro deux, en 2007). Il a également réalisé plusieurs portraits de cinéastes (Koji Wakamatsu, Kohei Oguri, Shuji Terayama, Kenneth Anger) et plusieurs courts-métrages expérimentaux (dont Son of a gun, 2011). Les Gouffres est son premier long métrage de fiction.
"Visuellement les profondeurs appellent des imaginaires d'une richesse inouïe. Des visions de l'enfer de Bosch ou de la Renaissance italienne aux caves rondes et protectrices, inondées de lumière zénithale par exemple chez Girodet ou les préraphaélites, les ambiances ou vibrations sont très variées. Les images excitent l'imaginaire et incitent aux mirages, aux visions. Et puis il y a quelque chose de constamment fascinant à voir un personnage s'aventurer dans le noir, avancer vers les entrailles du monde. Partir au fond de soi comme en expédition au dessous du volcan." (Antoine Barraud)
"Visuellement les profondeurs appellent des imaginaires d'une richesse inouïe. Des visions de l'enfer de Bosch ou de la Renaissance italienne aux caves rondes et protectrices, inondées de lumière zénithale par exemple chez Girodet ou les préraphaélites, les ambiances ou vibrations sont très variées. Les images excitent l'imaginaire et incitent aux mirages, aux visions. Et puis il y a quelque chose de constamment fascinant à voir un personnage s'aventurer dans le noir, avancer vers les entrailles du monde. Partir au fond de soi comme en expédition au dessous du volcan." (Antoine Barraud)