L'ENKAS
Sarah Marx

Fraîchement sorti de prison, Ulysse n'a qu'une idée en tête: gagner de l'argent. Face à une mère en dépression, Gabrielle, aux factures qui ne cessent de s'accumuler et à un désir de vivre pleinement sa vie, il décide d'élaborer un plan. Avec son meilleur ami David, il voyage de rave en rave en vendant un mélange d'eau et de kétamine, un food truck pour couverture. Ensemble, ils prennent la route...
Interprétation : Sandor Funtek, Sandrine Bonnaire, Virginie Acariès, Alexis Manenti, Lauréna Thellier
Scénario : Sarah Marx, Ekoué Labitey, Hamé Bourokba
Image : Yoan Cart
Son : Jean-Christophe Lion
Montage : Karine Prido
Musique : Laurent Sauvagnac, Lucien Papalu
Scénario : Sarah Marx, Ekoué Labitey, Hamé Bourokba
Image : Yoan Cart
Son : Jean-Christophe Lion
Montage : Karine Prido
Musique : Laurent Sauvagnac, Lucien Papalu
Production : La Rumeur Filme, Les films du Cercle, Orange Studio
Ventes internationales: Versatile
Ventes internationales: Versatile

Après des études d'histoire et de géopolitique à l'Université de Paris VIII, au cours desquelles elle se lie d'amitié avec Ekoué Labitey, Sarah Marx s'oriente vers une formation de GRI (Global Reporting Initiative).
Dès lors, elle enchaîne les stages en agence de presse et réalise des vidéos pop–culture. Son questionnement sur l'inégalité des chances, l'enfermement et l'échec de la réinsertion la conduit à la prison de Nanterre, où elle réalise un documentaire. Pendant un an, elle suit jour après jour l'atelier de théâtre d'un groupe de huit détenus. Ce travail lui permet de s'affranchir de la forme pour s'intéresser davantage au fond. C'est de cette expérience et de cet engagement qu'est né L'EnKas.
« Il y a deux ans, j'ai fait un film qui se passait dans une prison, à Nanterre. C'est alors que j'ai décidé de faire un film sur un type qui sort de prison et sur ses difficultés à se réintégrer dans la société.[…] Il est important pour moi de faire des films qui parlent de jeunes gens qui ne sont pas souvent représentés dans le cinéma français. C'est une odyssée contemporaine […] Si vous regardez la manière dont le film est fait, il se rapproche du hip-hop à la fois par son flow, par l'énergie des personnages à l'écran et par le fait que les producteurs du film sont un groupe de hip-hop qui s'appelle La Rumeur.[…] Quand on fait du hip-hop, on a besoin d'un flow et d'un micro ; quand on fait un film, les acteurs ont besoin d'un flow et d'une caméra. » (Sarah Marx)
Dès lors, elle enchaîne les stages en agence de presse et réalise des vidéos pop–culture. Son questionnement sur l'inégalité des chances, l'enfermement et l'échec de la réinsertion la conduit à la prison de Nanterre, où elle réalise un documentaire. Pendant un an, elle suit jour après jour l'atelier de théâtre d'un groupe de huit détenus. Ce travail lui permet de s'affranchir de la forme pour s'intéresser davantage au fond. C'est de cette expérience et de cet engagement qu'est né L'EnKas.
« Il y a deux ans, j'ai fait un film qui se passait dans une prison, à Nanterre. C'est alors que j'ai décidé de faire un film sur un type qui sort de prison et sur ses difficultés à se réintégrer dans la société.[…] Il est important pour moi de faire des films qui parlent de jeunes gens qui ne sont pas souvent représentés dans le cinéma français. C'est une odyssée contemporaine […] Si vous regardez la manière dont le film est fait, il se rapproche du hip-hop à la fois par son flow, par l'énergie des personnages à l'écran et par le fait que les producteurs du film sont un groupe de hip-hop qui s'appelle La Rumeur.[…] Quand on fait du hip-hop, on a besoin d'un flow et d'un micro ; quand on fait un film, les acteurs ont besoin d'un flow et d'une caméra. » (Sarah Marx)