38ᵉ édition
17-25 janvier 2026
Image La Niña de fuego
EspagneFrance
2014 Fiction 2h07
Bárbara est une belle femme vénéneuse, passionnelle et psychologiquement instable. Nombreux sont ceux attirés par son magnétisme, que son mari tente de contenir en l'enfermant chez eux. Ainsi en va-t-il de Damiàn, son ancien voisin, qui n'ose sortir de prison de peur de la revoir. Quant à Luis, père célibataire au bord du gouffre, il ne réalise pas qu'en voulant la faire chanter, il joue dangereusement avec le feu...
Interprétation : José Sacristán, Bárbara Lennie, Luis Bermejo, Lucía Pollán
Scénario : Carlos Vermmut
Image : Santiago Racaj
Son : Daniel de Zayas
Montage : Emma Tusell
Production : Aqui y Alli Films, Pedro Hernández Santos, Álvaro Portanet, Amadeo Hernández Bueno / Email : info@aquiyallifilms.com
Distribution: Version Originale, Eric Le Bot / 40 rue de Paradis, 75010 Paris / Tél. : +33 (0) 1 45 23 46 39 / Email : contact@vo-st.fr
Carlos Vermut a étudié illustration à l'école d'art Número diez à Madrid, faisant ses premiers pas en tant qu'illustrateur pour El Mundo. Il gagne le Injuve comic award en 2006, publiant ensuite sa première bande dessinée, El banyán rojo. En 2008, il crée la série télévisée Jelly Jann, et l'année suivante gagne la septième édition du Notodofilmfest avec son premier court métrage Maquetas. La même année, il réalise son deuxième court métrage, Michirones. En 2011, il fonde sa société de production Psicosoda Films et produit son premier long métrage, Diamond Flash, à travers la plateforme en ligne Filmin movie platform. En 2012, il écrit et réalise le court métrage Don Pepe Popi et publie la bande dessinée Cosmic Dragon. La Niña de fuego, son deuxième long métrage, remporte la concha de oro au Festival de San Sebastian en 2014.

" Il y a une scène dans La Niña de fuego, dans laquelle le personnage d'Oliver explique pourquoi en Espagne la corrida est encore largement accepté par la population. L'Espagne est un pays où le conflit entre le rationnel et l'émotif n'est pas encore complètement résolu, d'où la fascination pour le portrait de la lutte entre l'instinct et la raison qui a lieu dans les arènes. La Niña de fuego est né de l'obsession pour cette lutte, qui, en grande ou petite partie, fait partie de chaque être humain, faisant de nous des êtres en conflit éternel. " (Carlos Vermut)