La hija de un ladrón
Belén Funes

Toute sa vie, Sara a été livrée à elle-même. À 22 ans, avec un bébé à charge, elle aspire à former une famille normale. Mais son père Manuel est de retour après des années d'absence passées en prison et pour Sara, il est son principal obstacle.
Interprétation : Greta Fernandez, Eduard Fernandez, Alex Monner, Tomas Martin
Scénario : Belén Funes, Marçal Cebrian
Image : Neus Ollé
Direction artistique : Marta Bazaco
Montage : Bernat Aragonès
Son : Enrique G. Bermejo, Sergio Rueda
Scénario : Belén Funes, Marçal Cebrian
Image : Neus Ollé
Direction artistique : Marta Bazaco
Montage : Bernat Aragonès
Son : Enrique G. Bermejo, Sergio Rueda
Production : Antonio Chavarrías, Alex Lafuente
Ventes internationales: Latido Films
Ventes internationales: Latido Films

Belén Funes est une scénariste et réalisatrice espagnole. Elle a étudié à l'École Supérieure de Cinéma et d'Audiovisuels de Catalogne et à l'École Cubaine de Cinéma à San Antonio de los Baños. Elle a réalisé Sara a la fuga, son premier court métrage en 2015, co-écrit avec Marçal Cebrian. En 2017, elle réalise La inútil, son deuxième court métrage. La hija de un ladrón est son premier long métrage, qu'elle a également co-écrit avec Marçal Cebrian.
« Après le tournage, j'ai senti que le film s'ouvrait lentement à nous lors du montage dans une salle obscure de Barcelone. Les mots d'un scénario ne signifient pas grand-chose ; c'est ce que dit mon scénariste. Il pense qu'il s'agit d'un guide, d'une béquille qu'il faut parfois laisser derrière soi pour plonger dans les profondeurs et explorer des territoires inconnus. Après six semaines de tournage, je suis arrivée à la conclusion que nous n'avions pas tourné une histoire de haine (comme je le croyais), mais plutôt d'un amour brisé, entre un père et une fille qui veulent désespérément s'aimer, mais ne savent pas comment. Pour moi, la famille est une source d'inspiration et en parler est une nécessité. Ce film est le meilleur moyen que j'ai trouvé pour continuer à enquêter sur les liens qui nous unissent à notre propre famille, tout en me demandant s'il est possible de reconstruire une famille brisée ou s'il vaut mieux la détruire pour pouvoir continuer à vivre. » (Belén Funes)
« Après le tournage, j'ai senti que le film s'ouvrait lentement à nous lors du montage dans une salle obscure de Barcelone. Les mots d'un scénario ne signifient pas grand-chose ; c'est ce que dit mon scénariste. Il pense qu'il s'agit d'un guide, d'une béquille qu'il faut parfois laisser derrière soi pour plonger dans les profondeurs et explorer des territoires inconnus. Après six semaines de tournage, je suis arrivée à la conclusion que nous n'avions pas tourné une histoire de haine (comme je le croyais), mais plutôt d'un amour brisé, entre un père et une fille qui veulent désespérément s'aimer, mais ne savent pas comment. Pour moi, la famille est une source d'inspiration et en parler est une nécessité. Ce film est le meilleur moyen que j'ai trouvé pour continuer à enquêter sur les liens qui nous unissent à notre propre famille, tout en me demandant s'il est possible de reconstruire une famille brisée ou s'il vaut mieux la détruire pour pouvoir continuer à vivre. » (Belén Funes)