Je ne suis pas mort
Mehdi Ben Attia
Grand prix du jury - Long métrage français//Grand jury prize - French feature films//CINE +, Conseil Général de Maine-et-Loire

Yacine, brillant étudiant en sciences politiques d'origine modeste, obtient un soutien inattendu de la part de Richard, son professeur de philosophie politique. Celui-ci propose notamment de l'aider à décrocher un stage à l'Élysée. Mais une nuit, Yacine se réveille paniqué. En transe, il se dirige vers le domicile de son professeur où il apprend son décès. Étrangement serein, il s'emploie à rassurer la famille.
Interprétation : Mehdi Dehbi, Maria de Medeiros, Emmanuel Salinger
Scénario : Mehdi Ben Attia
Image : Grégoire de Calignon
Son : Alan Savary
Montage : Emmanuelle Castro
Musique : Karol Beffa
Scénario : Mehdi Ben Attia
Image : Grégoire de Calignon
Son : Alan Savary
Montage : Emmanuelle Castro
Musique : Karol Beffa
Production : Mercredi Films, Elodie Lachaud // 14, rue Edouard Robert, 75012 Paris // Tel. : +33 (0)1 43 41 11 90 // Email : contact@mercredifilms.com

Le scénariste et réalisateur Mehdi Ben Attia est né en 1968 à Tunis. Après des études d'économie et de sciences politiques, il a coréalisé avec Zina Modiano le court métrage franco-tunisien En face. Mehdi Ben Attia a notamment collaboré à l'écriture de Loin (André Téchiné, 2001), Impardonnables (André Téchiné, 2011), ainsi qu'à de nombreuses séries télévisée. Je ne suis pas mort est son deuxième long métrage.
"Le principal défi de l'écriture et de la réalisation de Je ne suis pas mort, c'est la double interprétation : il fallait que l'histoire tienne debout au premier et au second degrés, comme aventure et comme métaphore, comme film fantastique et politique, comme récit d'une métamorphose et d'une folie, comme l'histoire d'un jeune homme qui déteste sa propre identité et comme celle d'un homme mûr projeté dans une nouvelle jeunesse, etc. Pour raconter cette histoire complexe, j'ai opté pour un dispositif de mise en scène simple : empathie avec le personnage principal et respect de son point de vue. Car ce qui m'intéresse ici, ce n'est pas tellement le 'fantastique', ce n'est même pas la méditation sur 'l'identité', c'est le ressenti du personnage, son intériorité. Tout le travail avec Mehdi Dehbi, ainsi que le travail de la mise en scène et du découpage, a consisté à s'approcher de cette intériorité par définition invisible." (Mehdi Ben Attia)
"Le principal défi de l'écriture et de la réalisation de Je ne suis pas mort, c'est la double interprétation : il fallait que l'histoire tienne debout au premier et au second degrés, comme aventure et comme métaphore, comme film fantastique et politique, comme récit d'une métamorphose et d'une folie, comme l'histoire d'un jeune homme qui déteste sa propre identité et comme celle d'un homme mûr projeté dans une nouvelle jeunesse, etc. Pour raconter cette histoire complexe, j'ai opté pour un dispositif de mise en scène simple : empathie avec le personnage principal et respect de son point de vue. Car ce qui m'intéresse ici, ce n'est pas tellement le 'fantastique', ce n'est même pas la méditation sur 'l'identité', c'est le ressenti du personnage, son intériorité. Tout le travail avec Mehdi Dehbi, ainsi que le travail de la mise en scène et du découpage, a consisté à s'approcher de cette intériorité par définition invisible." (Mehdi Ben Attia)