Deux fils
Félix Moati
Prix des activités sociales de l'énergie - Longs métrages français//CCAS prize - French feature film//Activités sociales de l'énergie

Joseph et ses deux fils, Joachim et Ivan, formaient une famille très soudée. Mais Ivan, le plus jeune, collégien hors norme en pleine crise mystique, est en colère contre ses deux modèles qu'il voit s'effondrer. Car son grand frère Joachim ressasse inlassablement sa dernière rupture amoureuse, au prix de mettre en péril ses études de psychiatrie. Et son père a décidé de troquer sa carrière réussie de médecin pour celle d'écrivain raté. Pourtant, ces trois hommes ne cessent de veiller les uns sur les autres et de rechercher, non sans une certaine maladresse, de l'amour…
Interprétation : Vincent Lacoste, Benoît Poelvoorde, Mathieu Capella, Anaïs Demoustier
Scénario : Félix Moati avec la collaboration de Florence Seyvos
Image : Yves Angelo
Son : Charlie Cabocel, Antoine Baudouin, Agnès Ravez, Niels Barletta
Montage : Simon Birman
Musique : LIMOUSINE
Scénario : Félix Moati avec la collaboration de Florence Seyvos
Image : Yves Angelo
Son : Charlie Cabocel, Antoine Baudouin, Agnès Ravez, Niels Barletta
Montage : Simon Birman
Musique : LIMOUSINE
Production : Pierre Guyard, Christophe Rossignon, Philip Boëffard, Ève François Machuel (Nord-Ouest Films), Patrick Quinet (Artémis Productions), en coproduction avec France 3 Cinéma, avec la participation de Le Pacte, Canal +, Ciné +, France Télévisions et le soutien
Distribution: Le Pacte
Ventes internationales: Le Pacte
Distribution: Le Pacte
Ventes internationales: Le Pacte

Félix Moati fait ses débuts au cinéma dans LOL de Lisa Azuelos et le film d'horreur Livide. C'est son rôle dans Télé Gaucho de Michel Leclerc, qui le révèle au grand public. Sa performance lui vaudra une nomination au César du meilleur espoir masculin en 2013. En 2016, il est nommé une seconde fois au César du meilleur espoir pour À trois on y va, où il donne la réplique à Anaïs Demoustier. Après avoir fait ses débuts derrière la caméra avec le court métrage Après Suzanne, remarqué au Festival de Cannes 2016 et présenté à Angers ensuite, Félix Moati réalise son premier long métrage, Deux fils.
"Quand je tournais mon court métrage Après Suzanne, j'étais en train d'écrire le long. (…) Il y a dans ce court la recherche d'une tonalité, car trouver son ton dans un premier film, c'est trouver aussi le ton qu'on a envie de donner à sa propre vie. C'est souvent ce qui m'émeut dans un premier long métrage. Je pense que la fiction nous aiguille dans le réel et le corrige. (…) Dans la première séquence du film, par exemple, lorsque les personnages vont choisir le cercueil du défunt, la simple présence de Benoît Poelvoorde nous protège du tragique : il apporte de la comédie et de la tendresse. Il y a aussi du jazz dans cette séquence, la tonalité du film est donc entre deux, à la fois grave et légère. J'aime cet état intermédiaire." Félix Moati
"Quand je tournais mon court métrage Après Suzanne, j'étais en train d'écrire le long. (…) Il y a dans ce court la recherche d'une tonalité, car trouver son ton dans un premier film, c'est trouver aussi le ton qu'on a envie de donner à sa propre vie. C'est souvent ce qui m'émeut dans un premier long métrage. Je pense que la fiction nous aiguille dans le réel et le corrige. (…) Dans la première séquence du film, par exemple, lorsque les personnages vont choisir le cercueil du défunt, la simple présence de Benoît Poelvoorde nous protège du tragique : il apporte de la comédie et de la tendresse. Il y a aussi du jazz dans cette séquence, la tonalité du film est donc entre deux, à la fois grave et légère. J'aime cet état intermédiaire." Félix Moati