Des hommes
Alice Odiot, Jean-Robert Viallet

25 jours en immersion dans la prison des Baumettes. 30 000 mètres carrés et 2 000 détenus dont la moitié n'a pas 30 ans.
Une prison qui raconte les destins brisés, les espoirs, la violence, la justice et les injustices de la vie. C'est une histoire avec ses cris et ses silences, un concentré d'humanité, leurs yeux dans les nôtres.
Une prison qui raconte les destins brisés, les espoirs, la violence, la justice et les injustices de la vie. C'est une histoire avec ses cris et ses silences, un concentré d'humanité, leurs yeux dans les nôtres.
Scénario : Alice Odiot, Jean-Robert Viallet
Image : Jean-Robert Viallet
Montage : Catherine Catella
Son : Georges-Henri Mauchant, Frédéric Salles, Jérôme Wiciak
Musique : Marek Hunhap
Image : Jean-Robert Viallet
Montage : Catherine Catella
Son : Georges-Henri Mauchant, Frédéric Salles, Jérôme Wiciak
Musique : Marek Hunhap
Production : Unité de Production, Bruno Nahon, Caroline Nataf
Distribution: Rezo Films
Ventes internationales: Unité de Production
Distribution: Rezo Films
Ventes internationales: Unité de Production

Alice Odiot commence une carrière de journaliste, elle s'immerge ensuite plusieurs années dans le monde fermé du travail et de la finance pour les besoins de différents films pour la télévision. Elle reçoit le prix Albert Londres en 2012 pour Zambie, à qui profite le cuivre ?
Jean-Robert Viallet a reçu le prix Albert Londres en 2010 pour sa trilogie La Mise à mort du travail, une immersion au cœur de grands groupes mondialisés. Parmi d'autres choses, il a travaillé sur le business des camps de redressement pour adolescents aux États-Unis, sur le trafic d'armes international, sur la France des marges et des oubliés de l'économie globale... Son dernier film, L'Homme a mangé la terre, raconte deux cents années de capitalisme industriel au regard de la crise environnemental.
"Nous voulions proposer un regard inattendu sur la prison. Révéler l'humanité circulant dans un lieu bâti pour en effacer la trace, sans pour autant occulter la brutalité du monde carcéral." (Alice Odiot, Jean-Robert Viallet)
Jean-Robert Viallet a reçu le prix Albert Londres en 2010 pour sa trilogie La Mise à mort du travail, une immersion au cœur de grands groupes mondialisés. Parmi d'autres choses, il a travaillé sur le business des camps de redressement pour adolescents aux États-Unis, sur le trafic d'armes international, sur la France des marges et des oubliés de l'économie globale... Son dernier film, L'Homme a mangé la terre, raconte deux cents années de capitalisme industriel au regard de la crise environnemental.
"Nous voulions proposer un regard inattendu sur la prison. Révéler l'humanité circulant dans un lieu bâti pour en effacer la trace, sans pour autant occulter la brutalité du monde carcéral." (Alice Odiot, Jean-Robert Viallet)