Comme si de rien n'était
Alles ist gut
Eva Trobisch
Grand Prix du jury - Longs métrages européens//Grand jury prize - European feature film//La Ville d'Angers et Le Monde
Prix Mademoiselle Ladubay - Longs métrages européens//Mademoiselle Ladubay Award - European feature film//Société Bouvet Ladubay
Prix Mademoiselle Ladubay - Longs métrages européens//Mademoiselle Ladubay Award - European feature film//Société Bouvet Ladubay

Janne est une femme moderne, éduquée, rationnelle, une femme qui réclame le droit d'être qui elle veut. Lors d'une réunion entre anciens camarades, sa vie bascule. Mais elle va persister à faire semblant que tout va bien, refuser de se considérer comme une victime et de perdre le contrôle… jusqu'à quand ?
Interprétation : Aenne Schwarz, Andreas Döhler, Hans Löw, Tilo Nest, Lina Wendel.
Scénario : Eva Trobisch
Image : Julian Krubasik
Son : Julian Feijoo, Adrian Phillipp, Kai Ziarkowski Montage : Kai Minierski
Scénario : Eva Trobisch
Image : Julian Krubasik
Son : Julian Feijoo, Adrian Phillipp, Kai Ziarkowski Montage : Kai Minierski
Production : TRIMAFILM, HFF Munich, Starhaus Filmproduktion
Distribution: Wild Bunch
Distribution: Wild Bunch

Née à Berlin en 1983, Eva Trobisch a commencé sa carrière en tant qu'assistante d'abord au théâtre, puis au cinéma.
En 2009, elle étudie au HFF (Hochschule für Film und Fernsehen) de Munich pour y apprendre la réalisation de films, se rend à la New York University's Tisch School of the Arts en tant qu'étudiante invitée, et s'inscrit en 2015 dans un master d'écriture de scénario à la London Film School. Comme si de rien n'était (Alles ist gut) est son film de fin d'études.
« L'idée n'a jamais été de faire un film sur le viol. […] J'ai développé le personnage pour en faire une femme moderne, éduquée, rationnelle, cynique, une femme qui réclame le droit d'être qui elle veut, de ne pas être contrainte par quoi que ce soit ou qui que ce soit. Je voulais me poser la question à la fois de la force et des limites de cette auto-détermination, qu'elles soient sociales, physiques ou émotionnelles. […] Dans la vie, on n'a jamais une vue d'ensemble, on saisit juste des morceaux. Je préférais donc suivre mes personnages de dos ou de profil sans jamais en savoir plus qu'eux ni être dans une pièce avant qu'ils n'y entrent. Mes personnages ont leur existence propre, je les suis, je ne les explique pas. […] Je soulève des questions, j'invite les gens à réfléchir avec moi, mais je n'ai pas la solution. Je ne veux et ne peux rien promettre. » (Eva Trobisch)
En 2009, elle étudie au HFF (Hochschule für Film und Fernsehen) de Munich pour y apprendre la réalisation de films, se rend à la New York University's Tisch School of the Arts en tant qu'étudiante invitée, et s'inscrit en 2015 dans un master d'écriture de scénario à la London Film School. Comme si de rien n'était (Alles ist gut) est son film de fin d'études.
« L'idée n'a jamais été de faire un film sur le viol. […] J'ai développé le personnage pour en faire une femme moderne, éduquée, rationnelle, cynique, une femme qui réclame le droit d'être qui elle veut, de ne pas être contrainte par quoi que ce soit ou qui que ce soit. Je voulais me poser la question à la fois de la force et des limites de cette auto-détermination, qu'elles soient sociales, physiques ou émotionnelles. […] Dans la vie, on n'a jamais une vue d'ensemble, on saisit juste des morceaux. Je préférais donc suivre mes personnages de dos ou de profil sans jamais en savoir plus qu'eux ni être dans une pièce avant qu'ils n'y entrent. Mes personnages ont leur existence propre, je les suis, je ne les explique pas. […] Je soulève des questions, j'invite les gens à réfléchir avec moi, mais je n'ai pas la solution. Je ne veux et ne peux rien promettre. » (Eva Trobisch)