38ᵉ édition
17-25 janvier 2026

Ali a les yeux bleus

Ali Ha Gli Occhi Azzurri

Claudio Giovannesi

Prix d'interprétation masculine "Prix Jean Carmet" pour Nader Sarhan - Long métrage européen ou français//Best actor "Jean Carmet" prize - European or french feature films//Conseil Général de Maine-et-Loire
Image Ali a les yeux bleus
Italie
2012 Fiction 1h40
Une semaine de la vie d'un adolescent. Nader cherche à se soustraire aux valeurs de sa famille. En équilibre instable, courageux et amoureux, tiraillé entre sa nationalité égyptienne et son désir d'intégration, Nader devra supporter le froid, la solitude, la rue, la faim et la peur, pour tenter de connaître sa propre identité.
Interprétation : Nader Sarhan, Stefano Rabatti, Brigitte Apruzzesi
Scénario : Claudio Giovannesi, Filippo Gravino
Image : Daniele Cipri'
Son : Angelo Bonnani
Montage : Giuseppe Trepiccione
Musique : Claudio Giovannesi, Andrea Moscianese
Production : Acaba Produzioni, via Monti della Farnesina 73A – 00135 Rome, Italie // Tel. : +39 (0)6 83 39 67 46 // Email : info@acabaproduzioni.com
Distribution: Bellissima Films, 8, rue Lincoln, 75008 Paris // Tel. : +33 (0)1 58 36 19 05 // Email : info@bellissima-films.com
Claudio Giovannesi est né à Rome, en 1978. Diplômé du Centre expérimental du cinéma de Rome en 2005, il a travaillé pour la Rai Radio et a été critique de cinéma. Après de nombreux courts métrages, parmi lesquels L'Uomo uccello e L'Uomo del sottosuolo (2005) et Welcome Bucarest (2007), il réalise une première fiction, La Casa sulle nuvole (2009), puis un documentaire, Fratelli d'Italia (2010). Ali a les yeux bleus est son deuxième long métrage de fiction. br />
"Ali a les yeux bleus nous parle de l'adolescence vécue dans une société multiculturelle, comme l'est l'Italie d'aujourd'hui. [...] Tout ou presque se voit raconté à travers le point de vue de Nader : son regard, son corps, ses actions déterminent chaque fois la position et le mouvement de la caméra, obligeant le cadre à une filature continue et dynamique dans le métro, à pied, en mobylette, sur la départementale et lors des allers-retours de la banlieue au centre-ville. Les adolescents ne s'arrêtent jamais, ils ne connaissent pas l'immobilité ; nous vivons l'action du film accrochés à leur mouvement vital, joyeux, bruyant." (Claudio Giovannesi)